Partager une définition commune : La meilleure définition, c’est celle que l’établissement aura élaborée avec ses collaborateurs.
S’impliquer dans une démarche de performance globale : La focalisation sur un volet spécifique de la RSE est un risque d’échec de la mise en œuvre de la démarche.
S’adapter au contexte de l’établissement, au territoire, au projet d’établissement ou au projet associatif.
Accompagner le changement : Avec ces démarches, les pratiques professionnelles changeront.
Travailler sur la durée : C’est une démarche continue et itérative.
Mesurer le bénéfice de la RSE : Elle peut être uniquement qualitative (et subjective) ou multidimensionnelle (impacts environnementaux, sociaux, sociétaux et économiques…).
Leurs conseils
Engager une démarche collaborative : Travailler avec les différentes parties prenantes, engager les salariés, les personnes accompagnées, les usagers.
Incarner la démarche RSE :
La direction porte la démarche,
La démarche est liée avec votre cœur de métier, vos missions,
La démarche irrigue tous les projets,
Un pilote coordonne la démarche,
Les enjeux de la démarche sont rappelés et partagés avec l’ensemble des professionnels et présentés aux nouveaux arrivants.
Séquencer :
Mettre en œuvre selon la technique des « premiers pas » : s’appuyer sur les expériences déjà menées
Faire des choix et des arbitrages pour prioriser l’action
Avoir la capacité à renoncer épisodiquement et à reprioriser dès que l’agenda le permet
Fédérer :
S’appuyer sur les personnes motivées et convaincues, qui ont une capacité à mobiliser : donner envie !
Impliquer une partie prenante proche si une partie prenante est réticente
Faire preuve d’humilité : en pratique, une démarche RSE est complexe et met du temps à imprégner l’ensemble des organisations de la structure.
Communiquer régulièrement pour maintenir une dynamique et pour donner à voir les premiers résultats constatés ou perçus.